• Ma page Facebook
  • Mon twitter
  • Ma page DeviantArt
  • Ma page Pinterest
  • Mon profil sur Instagram
  • Ma page Google+

mardi 16 novembre 2010

Nouvelle vague - In a manner of speaking


Reprise du groupe Tuxedomoon par le projet français Nouvelle vague, qui reprend des classiques (de Depêche Mode à Blondie en passant par Violent Femmes) à la sauce bossa nova... Ca me rappelle un peu l'envoutante Dirge de Death In Vegas.
"In a manner of speaking
I just want to say
That I could never forget the way
You told me everything
By saying nothing

In a manner of speaking
I don't understand
How love in silence becomes reprimand
But the way that I feel about you
Is beyond words

Oh give me the words
Give me the words
That tell me nothing
Ohohohoh give me the words
Give me the words
That tell me everything

In a manner of speaking
Semantic's won't do
In this life that we live we only make do
And the way that we feel
Might have to be sacrified

So in a manner of speaking
I just want to say
That just like you I should find a way
To tell you everything
By saying nothing

Oh give me the words
Give me the words
That tell me nothing
ohohohoh give me the words
Give me the words
That tell me everything"

J'aimerais que les hommes soient comme des chansons. Celles que j'aime le plus sont celles que je découvre par hasard. J'ai le coup de foudre, elles m'ouvrent une autre perspective. Je les écoute en boucle, en boucle, les apprends sur le bout des doigts. Et puis je les oublie, elles sortent du champ de mes pensées. Cela ne veut pas dire que je ne les aime plus. La preuve étant, quand je les réentends parfois des années après, je retombe amoureuse. Tout cela sans souffrir de leur non-présence dans ma vie.

dimanche 14 novembre 2010

Comme un arbre sans feuilles


. Le social et le paraître primant sur l'être, au point de se perdre. Simplement légère, comme l'une de ces crèmes minceur qu'ils font, meilleures pour la ligne mais tellement fades. Alors que je mouvoie ce corps engourdi et anesthésié, mon coeur lui, se fait lourd, lourd, lourd.
Une autre soirée //
Une belle soirée où l'alcool coule à flots, ou corps et bouteilles s'entrechoquent, au milieu des cendriers remplis à ras bord de mégots. Une soirée non une magnifique nuit, étoilée qui sait ? Pleine de musique, pleine de mauvaise bouffe, pleine de paroles et de conversations oubliées au plus tard le lendemain matin.

/// Une belle soirée... A en vomir.

Whatever !

mercredi 7 juillet 2010

Reading Dostoïevski

Gribouillis de l'époque où j'lisais Crimes et Châtiments... Raskolnikov est un des personnages les plus brillamment écrits que j'ai pu découvrir dans mes lectures. On a tous une part de lui en nous.

vendredi 30 avril 2010

Ramona Falls - I say fever


On m'a envoyé ça il y a quelques temps. Je me décide seulement à cliquer sur le lien. Et pourtant l'ami qui me l'a envoyé a le chic pour toujours me faire découvrir quelque chose auquel j'adhérerai à presque tous les coups. C'est le cas ici, et je vous livre sa trouvaille.

   Un clip superbe signé Ramona Falls,  qui avec ce premier clip nous ouvrent les portes d'un univers qui n'est pas sans me rappeler Radiohead (encore ceux-là), Sneaker Pimps, Bat for Lashes, Peter Von Poehl, PJ Harvey ou encore BlondeReadhead, bref c'est dans la trempe indie rock planant. Leur influence, selon leur Myspace ? Du chocolat, en grande partie. Quelques petites pépites de piano cristallines, des éclats de mandoline, un fourrage à la guitare folk, parfois agrémenté de quelques morceaux d'électrique. C'est tendre et c'est un délice pour les oreilles. Oui, comme du chocolat, la crise de foie en moins.

Ramona Falls n'est pas un groupe, c'est un projet dirigé par Brent Knopf (à droite), membre du groupe Menomena et basé à Portland. De nombreux guest musiciens ont participé à la mise en oeuvre de Intuit, leur premier LP.

    Enfin, pour ceux qui comme moi ont été impressionnés par les images de la vidéo, le réalisateur s'appelle Stefan Nadelman, et depuis son premier court-métrage Latin Alive en 2000, il ne cesse de rafler les prix. Il a entre autres participé à la réalisation de publicités. Il collabore depuis 2006 avec Brent Knopf, et a réalisé, en plus de I say fever, le clip Evil Bee.

 Bref, je vous invite à ouvrir la boite de chocolats qu'est Intuit, dès maintenant !

jeudi 25 mars 2010

Tony Leung Chiu Wai - Huayang nian hua


Avec une vidéo très sobre dirigée par le cinéaste Wong Kar Wai. Celui-ci est connu pour ses films inspirés  principalement par la nouvelle vague avec notamment les fantastiques Days of being wild (1991), Chungking Express (1994) et In the mood for love (2000), films dans lesquels Tony Leung Chiu Wai joue. Cette chanson - éponyme au film en mandarin - en explore les mêmes thèmes, à savoir le regret des temps passés et les actes manqués. Comme toujours chez Wong, la façon compulsive qu'ont les personnages à fumer représente le temps qui fuit, la vie qui s'amenuise. En tirant sur leur cigarette, ils semblent provoquer délibérément cette fuite du temps, comme pour précipiter encore plus loin un passé qu'ils aimeraient revivre ou bien oublier.
Le titre original, Huayang nianhua, est en chinois une expression signifiant littéralement "les années des fleurs", et se réfère aux temps révolus, avec une pointe de nostalgie.
Je ne suis pas fan de pop sirupeuse, mais ce morceau (enfin... surtout le film) a eu sur moi, en l'année des fleurs 2007, un effet poignant, en vue des circonstances pendant lesquelles je l'ai découverte.
Ici, les images comme la musique sont sans fioritures, les quelques accords posés au piano restent les mêmes, implacables, comme le tic-tac d'une horloge, les paroles même sont répétées à deux reprises, et seul le violon et les voix s'emportent en choeur, avant de se résigner à la fin (avec ce soupir très significatif de Tony), tout comme dans le thème de Yumeji d'Umebayashi qui retentit maintes fois dans le film. 
 Enfin, on ne peut qu'admirer Tony Leung Chiu Wai (et sa compagne, dommage que ce ne soit pas sa partenaire dans le film, Maggie Cheung), qui en plus d'être un acteur polyglotte et caméléon au jeu très subtil, nous communique très justement le ressenti des paroles, avec de simples regards et cette gestuelle si pondérée, presque retenue.
 Je m'arrête là. Un post compulsif d'insomniaque.

jeudi 11 mars 2010

The good, the bad and the queen


Titre extrait de l'album éponyme, du groupe éponyme (:D) dont le chanteur est Damon Albarn, celui-là même de Blur et Gorillaz. Apparemment, le rituel du clip est issu du mouvement spirituel soufique. En tous cas, la chanson autant que la vidéo sont bien planantes. 
 C'est pas tout nouveau mais j'avais envie de partager ça.

mercredi 10 mars 2010

Shinkai Makoto, Miyazakieste

Animateur japonais, que je considère un peu comme un des dignes successeurs de Miyazaki (et en vue des articles récents que j'ai pu lire, je ne suis pas la seule), il se fait connaître avec un court-métrage, Kanojo to kanojo no neko, littéralement "Elle et son chat"(1999), un chef d'oeuvre d'animation, sobre et poignant à la fois, qui narre l'histoire d'une jeune fille du point de vue de son chat.
Je vous invite à (re)découvrir ce petit bijou ci-dessous.

Stream of unconsciousness

Flot de conscience : technique littéraire consistant à retranscrire le flot de pensées d'un individu de façon continue
 Ben c'est pas facile...